Publié le 25 Décembre 2024

Lauragais d'Autrefois (198) : les dictons de Noël

L'hiver est à nos portes, Noël est déjà là. Voici quelques dictons de saison.

 

  • Quand Nadal se solelha, Pascas crama la lenha

Quand Noël est ensoleillé, Pâques brûle le bois

  • Per Nadal, les jorns creissan d'un pas de gal

Pour Noël, les jours s'allongent d'un pas de coq

  • Plèja per Nadal, solelh pels Rampalms 

Pluie à Noël, soleil aux Rameaux

  • Per Nadal, cadun dins son ostal

Pour Noël, chacun dans sa maison (dans sa famille)

  • L’ivèrn es pas bastard s'arriba pas d'ora arriba tard.

L'hiver n’est pas bâtard, s'il n'arrive pas de bonne heure, il arrive tard.

  • Quand les corbasses son a l'ensús, l'ivèrn nos tomba dessus ; quand les corbasses son a l'enbàs, l'ivèrn es passat

Quand les corbeaux volent haut, l'hiver nous tombent dessus, quand les corbeaux volent bas, l'hiver est fini

Envoi de Guy Serres

  • Tal jorn Nadal tal jorn Cap de l'an.

Le jour de Noël est le même que celui du Jour de l'An

Si vous connaissez d'autres dictons, expressions ou proverbes sur cette période de l'année, n'hésitez pas à me les adresser. Nous complèterons la petite collection de ce post ensemble au fur et à mesure. Vous pouvez m'écrire à lauragais@lescarnetsdemile.fr 

Merci à Berthe Tissinier pour la photo.

Ce post fait partie de la série sur le Lauragais agricole d'autrefois. Vos contributions seront les bienvenues comme rappelé dans ce post-ci : Ecrivons ensemble le Lauragais agricole d'autrefois (cliquer dessus)

Pour retrouver facilement ces posts et les voir dans leur ensemble vous pourrez cliquer sur la nouvelle catégorie du blog : Lauragais agricole d'autrefois ou sur l'onglet en haut de page. Ils seront également écrits en bleu pour les distinguer des posts du quotidien de la vie d'Emile

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Rédigé par Emile

Publié dans #Lauragais agricole d'autrefois

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Publié le 25 Décembre 2024

Un conte de Noël lauragais inédit

Chers lecteurs des Carnets d'Emile, je vous souhaite un Joyeux Noël.

Voici un conte de Noël lauragais inédit que vous pouvez découvrir en cliquant ci-dessous.

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Rédigé par Emile

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Publié le 25 Décembre 2024

Samedi 25 décembre 1954 - les broussailles de Noël

Beau temps

J'ai nettoyé les broussailles à la croix de la rigole 

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Publié le 24 Décembre 2024

Vendredi 24 décembre 1954 - le bord de la route

Vent d'ouest moins fort

Avons continué à tirer les bords du champ du jardin au bord de la route. Le facteur a porté la retraite des vieux 23800 f

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Rédigé par Emile

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Publié le 23 Décembre 2024

Jeudi 23 décembre 1954 - fourrage et crêtes

Vent d'ouest fort

Le matin avons monté du fourrage et des crêtes sur le garage. Le soir avons commencé à tirer les bords du champ du jardin pour le maïs.

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Rédigé par Emile

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Publié le 22 Décembre 2024

Lauragais en 39-45 (3) : faire farine, la nuit

Louis Bruno était agriculteur en Lauragais, fermier plus exactement. Retraité, il a consigné ses souvenirs dans des cahiers que sa famille partage avec nous aujourd'hui. Dans de précédents posts (ici et ), sa description des travaux de printemps puis les activités de début d'été (). 

Depuis deux semaines, nous redécouvrons son récit de la vie dans les métairies lauragaises pendant la guerre (voir ici  et les épisodes précédents). Il avait écrit ces mots pour une conférence donnée il y a plusieurs années maintenant. Après les éléments de contexte, voici aujourd'hui la farine faite la nuit.

"C'est donc la nuit jusqu'à une heure avancée que les couvées de farine avaient lieu et la solidarité n'étant pas un vain mot surtout en ces temps-là. Les gens du voisinage étaient conviés d'apporter leur mesurette de grains et venir suer une chemise à l'unisson car trois ou quatre personnes se relayant à la manivelle n'étaient pas de trop afin de produire une farine d'une finesse moyenne ; je préciserai que chez nous cela se passait dans un local polyvalent servant aussi de chai, ce qui permettait de faire quelques haltes pour prendre une rasade au robinet pour se remonter bien-sûr.

Les moutures ainsi obtenues après ce parcours plutôt chaotique rendaient grand service. Si on n'allait pas jusqu'au point de rallumer le vieux four pour la fournée de pain, les ménagères initiées pétrissaient pour pâtes fraîches galettes diverses fougasses ou bien encore avec le maïs le millas remplaçant le pain et c'est ainsi qu'on pouvait se caler l'estomac tous les jours un peu en attendant des jours meilleurs qui, au prix du sacrifice de bien trop d'être humains, se profilaient à l'horizon.

(...)

Cet Indispensable je l'ai toujours et je le garderai, je lui dois trop de respect. pour moi, il a une âme et un passé si glorieux.

Je le fais aussi tourner de temps en temps pour le plaisir de faire un peu de farine de maïs pour cuire quelques polentas, les soirs d'hiver."

Aimé Boyer se souvient lui-aussi de ces moments 

"Mes parents avaient acheté aussi un petit moulin, que mon père avait fixé à une mangeoire d'une petite travée libre dans l'écurie; ils avait posé des balles de paille devant pour le dissimuler.
La nuit venue, mon père posait une baladeuse avec un abat-jour au dessus du moulin de façon à cacher toute lumière à la ronde.Même les voisins venaient avec quelques litres de blé ou maïs!. La soirée étaient conviviales, les femmes de la maison faisaient souvent quelques crêpes pour clôturer la veillée. Il ne fallait pas oublier d'éteindre la lumière avant de sortir, quand ils repartaient.

Dans la lancée, mes parents avaient acheté une machine à vermicelle de la marque AYXA. Tous ces appareils étaient bien-sûr vendus en cachette par le forgeron ou ferblantier. Cependant il n'y avait pas de blé dur mais ces pâtes rendaient bien service pour nourrir les familles. "

Un immense merci à Daniel Bruno - ainsi qu'à Christiane et Jean-François Bruno - pour avoir partagé les écrits passionnants de Louis.

Mes remerciements également à Aimé Boyer pour le partage de ses souvenirs et la photo ci-après..

Merci à Bruno Alasset pour la photo d'illustration.

Ce post fait partie de la série sur le Lauragais agricole d'autrefois. Vos contributions seront les bienvenues comme rappelé dans ce post-ci : Ecrivons ensemble le Lauragais agricole d'autrefois (cliquer dessus)

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Machine à pâtes YAXA avec ses grilles à macaronis et nouilles (photo Aimé Boyer)

Machine à pâtes YAXA avec ses grilles à macaronis et nouilles (photo Aimé Boyer)

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Rédigé par Emile

Publié dans #Lauragais agricole d'autrefois, #Métairies en 39-45

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Publié le 22 Décembre 2024

Mercredi 22 décembre 1954 - les arbres morts

Vent d'ouest fort

Avons coupé les arbres morts et fait des bûches. Je suis allé à Castelnaudary vendre 4 foies gras d'oies 3 kg à 3000 f = 9000 f à l'Hôtel Fourcade.

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Rédigé par Emile

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Publié le 21 Décembre 2024

Mardi 21 décembre 1954 - la camionnette

Vent d'ouest froid ciel couvert

Avons fini de labourer la moitié du champ sur le champ noir pour le maïs.  Avons tué 15 oies. Sont venus nous aider Marie ma soeur, Julie de la Chartreuse, Cécile Rey, Anna et Camille de Roou avec la camionnette qu'ils viennent d'acheter 200000f

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Rédigé par Emile

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Publié le 20 Décembre 2024

Lundi 20 décembre 1954 - le fourrage

Ciel couvert mais beau temps

Avons continué à labourer le fourrage sur le champ noir

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Publié le 19 Décembre 2024

Dimanche 19 décembre 1954 - l'ail et les artichauts

Beau temps

Avons fait un sac de farine et le soir j'ai chaussé les artichauts et semé de l'ai

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Publié le 18 Décembre 2024

Samedi 18 décembre 1954 - les mêmes

Même temps qu'hier même travail. Fine est allée tuer les oies en estebe. Mariage Odette Bordes à Oran

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Publié le 17 Décembre 2024

vendredi 17 décembre 1954 - labourer pour le maïs

Ciel couvert beau temps

Avons commencé à labourer pour le maïs la moitié le haut du fourrage du champ sur le champ noir

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Publié le 16 Décembre 2024

Jeudi 16 décembre 1954 - les canards
Jeudi 16 décembre 1954 - les canards

Ciel couvert mais beau temps 

Etendu du fumier et labouré au champ sur le champ noir.

Fine est allée tuer les canards à la Ginelle

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Publié le 15 Décembre 2024

Lauragais en 39-45 (2) : les concasseurs, de la farine malgré tout

Louis Bruno était agriculteur en Lauragais, fermier plus exactement. Retraité, il a consigné ses souvenirs dans des cahiers que sa famille partage avec nous aujourd'hui. Dans de précédents posts (ici et ), sa description des travaux de printemps puis les activités de début d'été (). 

Depuis la semaine dernière, nous redécouvrons son récit de la vie dans les métairies lauragaises pendant la guerre (voir ici épisode précédent). Il avait écrit ces mots pour une conférence donnée il y a plusieurs années maintenant. Après les éléments de contexte, voici aujourd'hui le système D utilisé pour avoir de la farine malgré les limitations imposées durant cette période complexe.

Fort heureusement quelques rares fermes possédaient un de ces outils qu'on appelait les concasseurs et ils furent d'un secours providentiel. Entre autres, je citerai deux marques, les principales : le Kriquet et l'Indispensable. Leur vocation principale était de briser sommairement les céréales diverses pour nourrir les animaux, munis de meules métalliques réglables, pouvant si besoin donner une mouture très acceptable, actionnés manuellement les différents moteurs faisant encore défaut.

Bien entendu, ils furent aussi interdits d'usage puis confisqués par certaines mairies, d'autres plus complaisantes firent apporter une pièce capitale le rendant inutilisables.

Après avoir cogité longuement, mon père apporta une manivelle plus un engrenage, cela leur suffit. Dois-je vous dire qu'elle fut bien vite remplacée ?

Cet Indispensable que nous avions la chance de posséder fut acheté par mes parents dès qu'ils eurent trois sous en main après avoir atterri à Montesquieu en 1924 accueillis par la France avec six gamins accrochés aux "basques".

(...)

Malgré les menaces, les obligations de tout déclarer et la surveillance par quelques mouchards par bonheur souvent incompétentes donc faciles à "rouler", il fallait bien que l'on nous laisse mettre de côté les semences de blé et on comptait le plus large possible, ce qui permettait une fois les semis terminés de mettre le surplus en caisses ou en barriques bien camouflées dans la paille ou le fourrage et bien-sûr les concasseurs non plus n'étaient pas laissés en vue car une perquisition pouvait se produire d'un moment à l'autre.

Récit à suivre dans un prochain post pour découvrir la façon dont la farine se faisait la nuit durant ces années de guerre

Un immense merci à Daniel Bruno - ainsi qu'à Christiane et Jean-François Bruno - pour avoir partagé les écrits passionnants de Louis.

Merci à Bruno Alasset pour la photo d'illustration.

Ce post fait partie de la série sur le Lauragais agricole d'autrefois. Vos contributions seront les bienvenues comme rappelé dans ce post-ci : Ecrivons ensemble le Lauragais agricole d'autrefois (cliquer dessus)

Pour retrouver facilement ces posts et les voir dans leur ensemble vous pourrez cliquer sur la nouvelle catégorie du blog : Lauragais agricole d'autrefois ou sur l'onglet en haut de page. Ils seront également écrits en bleu pour les distinguer des posts du quotidien de la vie d'Emile.

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Publié dans #Lauragais agricole d'autrefois, #Métairies en 39-45

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Publié le 15 Décembre 2024

Mercredi 15 décembre 1954 - la saucisse

Beau temps

Avons fait la saucisse 

le soir avons commencé à labourer sur le champ noir avec les trois paires

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Publié le 14 Décembre 2024

Mardi 14 décembre 1954 - le cochon

Pluie tout le jour

Avons tué un cochon. elie Puget l'a tué Marie d'Estelle ma belle mère et Emile et Anna de Roou sont venus aider

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Publié le 13 Décembre 2024

Lundi 13 décembre 1954 - à Castelnaudary

Rafales de pluie et pluie fine à la nuit

Suis allé à Castelnaudary passer et payer 812 f l'assurance incendie pour les meubles de Camille à l'Union 1er versement 

Le soir avons préparé pour tuer le cochon demain

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Publié le 12 Décembre 2024

Dimanche 12 décembre 1954 - le sorgho

Temps doux pluie à la nuit

J'ai ramassé le sorgho et j'ai mesuré la moitié du champ que je veux labourer sous la rigole sur le champ noir

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Publié le 11 Décembre 2024

Vendredi 11 décembre 1954 - 18 charrettes

Beau temps

Avons fini de sortir le fumier au haut du champ sous la rigole 18 charrettes

Joséphine est allée tuer les oies à la Chartreuse. Les Seloudres sont venus.

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Rédigé par Emile

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Publié le 10 Décembre 2024

Jeudi 10 décembre 1954 - neuf chargements

Beau temps vent marin léger

Avon sorti 9 chargements de fumier et fait un sac de farine de paumelle

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Rédigé par Emile

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Publié le 9 Décembre 2024

Jeudi 9 décembre 1954 - une cabane pour les bûches

Ciel mi-couvert assez beau temps

Avons fini la cabane et en avons fait une autre pour les bûches

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Rédigé par Emile

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Publié le 8 Décembre 2024

Mercredi 8 décembre 1954 - la grange

Vent marin léger

Avons monté du fourrage sur la grange et avons fermé les volets de la cabane

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Publié le 7 Décembre 2024

Lauragais en 39-45 (1) : la métairie à l'heure du rationnement

Louis Bruno était agriculteur en Lauragais, fermier plus exactement. Retraité, il a consigné ses souvenirs dans des cahiers que sa famille partage avec nous aujourd'hui. Dans de précédents posts (ici et ), nous avions découvert sa description des travaux de printemps puis les activités de début d'été ().

Nous allons redécouvrir au cours de posts déjà proposés en 2021 son récit de la vie dans les métairies lauragaises pendant la guerre. Il avait écrit ces mots pour une conférence donnée il y a plusieurs années maintenant.

Les produits alimentaires furent dès 1940 rationnés à un niveau créant une situation voisine de la famine surtout dans les villes. La ration journalière de pain fluctuait suivant les départements en fonction des catégories de population et des caprices des autorités en charge de décisions souvent absurdes, par exemple 250 grammes dans l'Aude, 350 en Haute-Garonne, temporairement 500 grammes pour les producteurs de blé puis réduit de moitié lorsque la soudure s'avérait difficile.

Il était formellement interdit de détenir 10 kilos de blé à la ferme avec tous les mois la liste des différentes denrées d'origine végétale et animale à livrer à la réquisition, ce qui créait chez les paysans les plus craintifs un état de dénuement total, s'imposant des privations voisines de celles que subissaient les gens des villes.

Dans de telles situations, il était évident que seule la pratique du système D pouvait en partie soustraire les gens à ces misères et encore pour que ce fût possible fallait-il être situé de préférence dans la campagne profonde, loin des agglomérations et des mouchards mal intentionnés, posséder un peu de culot et cacher sous le chapeau un esprit de rébellion passive ravivé par l'instinct de survie.

Comment donc se procurer ces farines si précieuses sachant que les moulins furent interdits, seuls quelques rares encore non plombés se hasardaient un peu la nuit risquant des représailles terribles et le grain presque inexistant.

Certains foyers allaient jusqu'à se servir du moulin à café, imaginons quelle peine pour un rendement désuet...

 

Récit à suivre dans un prochain post pour découvrir la façon dont la farine se faisait durant ces années de guerre

 

Un immense merci à Daniel Bruno - ainsi qu'à Christiane et Jean-François Bruno - pour avoir partagé les écrits passionnants de Louis.

Merci à Bruno Alasset pour la photo d'illustration.

Ce post fait partie de la série sur le Lauragais agricole d'autrefois. Vos contributions seront les bienvenues comme rappelé dans ce post-ci : Ecrivons ensemble le Lauragais agricole d'autrefois (cliquer dessus)

Pour retrouver facilement ces posts et les voir dans leur ensemble vous pourrez cliquer sur la nouvelle catégorie du blog : Lauragais agricole d'autrefois ou sur l'onglet en haut de page. Ils seront également écrits en bleu pour les distinguer des posts du quotidien de la vie d'Emile.

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Rédigé par Emile

Publié dans #Métairies en 39-45, #Lauragais agricole d'autrefois

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Publié le 7 Décembre 2024

Mardi 7 décembre 1954 - la quête de Monsieur le curé

Mauvais temps fortes rafales de pluie vent d'ouest fort et tonnerre

Avons couvert la cabane. Meur le curé de Labastide est passé faire la quête du maïs et le culte 1000f

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Rédigé par Emile

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Publié le 6 Décembre 2024

Lundi 6 décembre 1954 - une convocation

Pluie et vent d'ouest tout le jour

Suis allé à Castel pour une convocation aux assurances sociales

Le soir avons nettoyé la grange

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Rédigé par Emile

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