Publié le 30 Septembre 2023

Mercredi 30 septembre 1953 - fouler

Beau temps

De bon matin avons foulé les raisins et fini de vendanger. Le soir avons continué de labourer au fond du grand champ avec les trois paires.

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Publié le 29 Septembre 2023

Mardi 29 septembre 1953 - les vendanges à la maison

Assez beau temps

Avons vendangé. Sont venus nous aider Gaston Josette Lanegrasse Henri Campistron Maurice Tornes Julie et Emile Pagès Henri et Lucienne Rouquet François et Jean Bressolles Anna et Camille Puget.

Avons ramassé en tout 75 comportes 50 pour notre part. Vigne de 2800 plants.

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Publié le 28 Septembre 2023

Lundi 28 septembre 1953 - les rafales et le raisin

Rafales de pluie

Camille Paulette et Yves sont allés vendanger au Tivoli. 

Moi j'ai préparé pour vendanger demain et le soir je suis allé faire des provisions à Villefranche.

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Publié le 27 Septembre 2023

Dimanche 27 septembre 1953 - 5 lapins

Ciel couvert pluie dans la soirée

Suis allé à Villefranche vendre 5 lapins à 150 f. Camille et Paulette sont allés dîner à Roou.

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Publié le 26 Septembre 2023

Samedi 26 septembre 1953 - les cheveux d'Elie

Pluie toute la soirée

Avons labouré le matin avec les trois paires le soir avons démoli une garenne et avons attrapé 5 lapins.

elie Pugete est venu se faire tailler les cheveux. Gaston Lanegrasse est venu chercher le tracteur. Fine est allée à Estebe et à la Chartreuse lui dire pour vendanger mardi.

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Publié le 25 Septembre 2023

Vendredi 25 septembre 1953 - 20 lapins sauvages
Vendredi 25 septembre 1953 - 20 lapins sauvages

Quelques gouttes de pluie le matin

Suis allé à Villefranche vendre 20 lapins sauvages à 150 f = 3000 f

le soir sommes allés avec le camion de Mandou déménager 22 sacs de pommes de terre et 30 sacs de paumelle.

Avons continué à labourer au fond du grand champ.

Mandou un voyage aux Quatre Cussous.

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Publié le 24 Septembre 2023

Jeudi 24 septembre 1953 - le ventilateur

Orage et un peu de pluie dans la nuit

Avons passé le blé au ventilateur. Le soir avons démoli un clapier avons attrapé 30 lapins.

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Publié le 23 Septembre 2023

Photo des boeufs  Coll JC Rouzaud, Joug : photo et montage Aimé Boyer
Photo des boeufs  Coll JC Rouzaud, Joug : photo et montage Aimé Boyer

Photo des boeufs Coll JC Rouzaud, Joug : photo et montage Aimé Boyer

Grâce à une reconstitution faite par Aimé Boyer, nous allons aujourd’hui passer en revue quelques pièces d’attelage autour du joug. De l’occitan au français et du français à l’occitan

le surjoug (sebrejo) : Le surjoug, placé au centre sur le joug (jo), permettait de l'équilibrer, permettant aux bovins attelés de conserver une bonne position de travail. C'était aussi un objet décoratif qui exprimait le savoir-faire de son sculpteur. Il servait aussi à accrocher les tresegats, la redonda, et les trait (chaînes) mais aussi un bouquet de fleurs, pour  des événements festifs et rares : Saint Roch, mariages etc...

découvrir l'article de S.Pilmann dans la Dépêche de l'Aude sur le surjoug :https://www.ladepeche.fr/2021/02/21/objets-dici-le-surjoug-bobine-cluquet-9385428.php

Trescavilha : élément posé sur le timon permettant au joug de faire corps avec l’outil, et reculer charrette, rouleaux, tombereaux, faucheuse, fâneuse, râteau.

Pour attacher la charrue ou le brabant au joug qui permettait aux bœufs de les tirer, une pièce était essentielle le tresegat. Afin de mieux comprendre la fonction de cette pièce, commençons par la redonda, l'anneau le plus simple.

La redonda (prononcer redoundo) sert pour les outils qui roulent et principalement la charrette. Une cheville devant, une derrière, le tiradon était bien tenu.

Le tresegat était pour les outils tirés, les charrues... il y avait un peu plus de jeu.

La tresèga (de tressa, tresse) était un anneau de branches tordues ou de cuir, pendu à la cheville du joug et le tiradon y passait dedans : une cheville de chaque côté pour qu'il ne puisse pas avancer ni s'extraire de l'anneau. Le tresegat sert à la même chose mais est en fer.

Cheville timon : Posée dans un trou sur le timon devant le joug pour la traction avant  

Cheville asta : élément pour atteler les charrues sarcleuses sans recul, non solidaire avec le Joug

Morial : élément posé sur le museau de l’animal l’empêchant d’attraper une bouché d’herbe ou autre branche qui aurait perturbé sa position de traction.

Moscals : filet tressé posé sur les yeux pour protéger le dépôt de mouches .

Julhas (juilles)  : appareil pour lier, joindre, les animaux de traction, bœufs ou vaches avec le joug.

Trait (chaîne): Fixé au sebrejo (surjoug) pour tirer brabant , canadienne, herse, houe, décavailloneur.

Merci à Aimé Boyer pour le partage de son savoir et de son expérience et à Jean-Claude Rouzaud pour les photso des boeufs.

Ce post fait partie de la série sur le Lauragais agricole d'autrefois. Vos contributions seront les bienvenues comme rappelé dans ce post-ci : Ecrivons ensemble le Lauragais agricole d'autrefois (cliquer dessus)

Pour retrouver facilement ces posts et les voir dans leur ensemble vous pourrez cliquer sur la nouvelle catégorie du blog : Lauragais agricole d'autrefois ou sur l'onglet en haut de page. Ils seront également écrits en bleu pour les distinguer des posts du quotidien de la vie d'Emile.

 

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Publié le 23 Septembre 2023

Mercredi 23 septembre 1953 - aider

Vent matin petit orage avec un peu de pluie à huit heures du soir

Avons continué à labourer avec les trois charrues brabants.

De huit à onze heures sommes allés tous aider à étendre du fumier en Sicre. Gaston est venu labourer le soir.

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Publié le 22 Septembre 2023

Mardi 22 septembre 1953 - le grand champ

Beau temps

Avons continué à labourer au fond du grand champ

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Publié le 21 Septembre 2023

Lundi 21 septembre 1953 - le petit bois

Vent marin le matin bruma à trois heures

Avons continué à labourer au fond du grand champ. Gaston est venu commencer sous le petit bois. Dubois Clément a pris 20 sacs de blé.

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Publié le 20 Septembre 2023

Dimanche 20 septembre 1953 - 1ère coupe pour les boeufs

Beau temps

J'ai arrangé du fourrage du hangar pour donner 1ère coupe aux boeufs. Camille et Paulette sont allés à roux avec Huguette après dîner. Yves est allé au baptême de la fille de René.

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Publié le 19 Septembre 2023

Samedi 19 septembre 1953 - et la pluie

Pluie dans la nuit très peu beau temps dans la journée

Avons fini de labourer au souleilla et commencé au fond du grand champ

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Publié le 18 Septembre 2023

Vendredi 18 septembre 1953 - 250 balles de paille
Vendredi 18 septembre 1953 - 250 balles de paille

Vent marin orage et quelques coups de tonnerre à la nuit. Avons chargé 250 balles de paille sur le camion de Bordes et Alegry 

Il a fait un chèque à Gaston de 104800 f. Avons étendu du fumier sous le petit bois. Le soir avons continué à labourer au souleilla.

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Publié le 17 Septembre 2023

Lauragais d'Autrefois (170) : les dictons occitans du vent d'autan

Le vent d'autan qui préoccupe souvent Emile dans ses carnets fait  l'objet de nombreux dictons en Lauragais. Ils varient selon l'endroit où l'on habite, selon les nuances de vent d'autan dont l'orientation peut varier ou les jours de la semaine qui le voient souffler.

Quelques nuances du pays caramanais et revelois :

L'auta de Mazamet, te daissa sus la set : L'autan de Mazamet te laisse sur la soif. (il ne se conclut pas par la pluie)

L'auta de Castèlnou, abèi bufa doman plòu : L'autan de Castelnaudary, aujourd'hui souffle , demain il pleut

L'auta de la montanha negra cada jorn s'énsolelha : L'autan de la montagne noire, chaque jour s'ensoleille.

Selon les jours de la semaine :

L'auta del dijòus desrapa les calhaus : le vent d'autan du jeudi arrache les cailloux ( souffle fort)

L’auta del diluns, le dimars n’en pòt pas pus :  le vent d'autan du lundi n'en peut plus le mardi

Autan et météo :

L’auta sus la torrada es pas de longa durada : L’autan sur la gelée n’est pas de longue durée

D'autres dictons :

L'auta del diluns n'acaba pas pus  :  L'autan du lundi n'en finit plus

L'auta sus la torrada fa trembla la cortada  :  L'autan sur la gelée fait trembler la basse-cour

L'auta del dissabte n'atuda pas las candelas del dimenge  :  L'autan du samedi n’éteint pas les bougies du dimanche

L'auta dels ramels bufa sus tabels  :  L'autan des rameaux souffle sur les tas de gerbes dans le champ

L'auta sus la torrada fa partir le boièr de per la laurada : Le vent d'autan sur la gelée fait partir le travailleur du labour

L'auta del divendres s'en va a Montalban e torna le dimenge amb la pluèja.

L'autan du vendredi s'en va à Montauban et revient avec la pluie

L'auta del divendres s'en va pas a la messa le dimenge.

l'autan du vendredi ne va pas à la messe le dimanche.

Amb le vent d'auta, cal pas menar las vacas al camp.

Avec le vent d'autan, il ne faut pas conduire les vaches au champ.

Auta sus la gelada pluèja sus la vesprada.

Autan sur la gelée, pluie l'après-midi

 

Merci à Aimé Boyer et aux contributeurs divers.

Si vous connaissez d'autres dictons ou proverbes sur le vent d'autan (nuances locales, durée du vent d'autan, vent d'autan selon les saisons, les jours de la semaine...), n'hésitez pas à me les adresser. Nous complèterons ce post ensemble au fur et à mesure. Vous pouvez m'écrire à lauragais@lescarnetsdemile.fr 

Ce post fait partie de la série sur le Lauragais agricole d'autrefois. Vos contributions seront les bienvenues comme rappelé dans ce post-ci : Ecrivons ensemble le Lauragais agricole d'autrefois (cliquer dessus)

Pour retrouver facilement ces posts et les voir dans leur ensemble vous pourrez cliquer sur la nouvelle catégorie du blog : Lauragais agricole d'autrefois ou sur l'onglet en haut de page. Ils seront également écrits en bleu pour les distinguer des posts du quotidien de la vie d'Emile.

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Publié le 17 Septembre 2023

Jeudi 17 septembre 1953 - avec le tracteur

Vent marin modéré

Gaston est venu labourer pour le maïs avec le tracteur . Nous avons continué à labourer au souille. Le soir suis allé avec Fine planter les choux-fleurs aux Quatre Cussous.

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Publié le 16 Septembre 2023

Mercredi 16 septembre 1953 - le jardin des Quatre Cussous

Beau temps

Avons continué de labourer au souleilla. Le soir suis allé avec Fine travailler le jardin aux Quatre Cussous.

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Publié le 15 Septembre 2023

Mardi 15 septembre 1953 - les pommes de terre en sac

Pluie le matin

Avons mis les pommes de terre en sac et 29 sacs de paumelle pour les déménager. Le soir suis allé à la Ginelle pour voir s'il y avait de la place au grenier 

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Publié le 14 Septembre 2023

Lundi 14 septembre 1953 - 3e coupe des frênes

Vent marin assez fort

Avons chargé deux charrettes de fourrage 3e coupe au champ des frênes et déchargé. Le soir avons continué à labourer avec les trois brabants au souleilla.

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Publié le 13 Septembre 2023

Dimanche 13 septembre 1953 - du monde au dîner

Beau temps chaud

Jeanne Rémi Alain Josette et Guy Planté d'Avignonet Pierre Rebée et Nicole Leguevaques sont venus dîner

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Publié le 12 Septembre 2023

Samedi 12 septembre 1952  - dépiquer au Matelot
Samedi 12 septembre 1952  - dépiquer au Matelot

Beau temps nuit froide

Avons continué à labourer au souleilla. Camille Paulette et Yves sont allés dépiquer au matelot. Moi et Fine avons chargé le fourrage au pailler et sous le vivier.

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Publié le 11 Septembre 2023

Vendredi 11 septembre 1953 - le dernier fourrage

Beau temps très frais

Continué à labourer au souleilla et le soir ramassé le fourrage sous le vivier et commencé aux frênes. Roques est venu chercher le dernier fourrage et 26 sacs d'avoine.

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Publié le 10 Septembre 2023

Sur le site sebastiensaffon.com , découvrez une nouvelle inspirée par les ondulations des champs de maïs et du vent d'autan.

Bonne lecture et à bientôt...

 

Cliquez ci-dessous pour la découvrir

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Publié le 10 Septembre 2023

Jeudi 10 septembre 1953 - changement de temps

Changement d temps 

Vent d'ouest frais et un peu de brume

Avons fini de couper le fourrage du champ des frênes et ramassé celui du pailler. Le soir continué à labourer avec les trois brabants au souleilla. 

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Publié le 9 Septembre 2023

Dans un extrait récent des carnets, le jeudi 21 avril 1960, Emile a noté que Monsieur Pech est venu retirer des balles de paille.

Voici l'authentique photo de ce camion envoyé par Jean-Claude Rouzaud :

Les nombreuses mentions consacrées aux pailles et fourrages témoignent de l'importance que cela revêtait pour le paysan des années 50. Ils constituaient litière et nourriture pour le bétail. 

A la signature d'un contrat de métayage, leur volume stocké était estimé à l'arrivée du preneur et figurait dans l'inventaire annexé au contrat et il devait y en avoir autant à leur départ. 

Voici l'extrait du contrat de la métairie d'Emile :

Et de l'inventaire d'arrivée à la métairie :

Les fenaisons occupaient une grande partie du printemps et constituaient un long travail pénible. Entre le début du printemps et l'automne, s'échelonnaient ainsi 4 coupes. Il fallait faucher, laisser sécher et ramasser avec une charrette qui faisait de multiples allers-retours jusqu'au champ avant de les stocker. L'inquiétude majeur concernait les caprices météorologiques qui pouvaient tremper le foin. 

Voici une faucheuse, photo d'Aimé Boyer :

Cette photo envoyée par Berthe Tissiner et déjà publiée ici, rappelle ces travaux :

Lorsqu'on le pouvait, on en vendait une partie pour un revenu complémentaire.

Aimé Boyer se souvient :

"Le marchand de foin était habituellement sur le marché, au cours de l’hiver et rentrait en contact avec d’habituels vendeurs, du surplus de fourrage. Les vignerons du Languedoc Roussillon ne produisaient pas suffisamment de fourrage pour alimenter les chevaux qu’ils utilisaient pour travailler leurs vignes, Les foins et fourrages du Lauragais, région voisine, leur convenaient parfaitement.

Bien-sûr, avant l'achat définitif, le marchand  venait se rendre compte sur place de la qualité l'année. Pour vérifier, il enfonçait, sa main dans le tas de fourrage, le sentait, regardait sa couleur avant de  proposer un prix, Mais si le prix ne convenait pas, il allait un peu plus loin dans le tas, reprenait une poignée et parfois annonçait  un prix plus élevé,

L'affaire se discutait ensuite dans la cuisine, on  s’attablait et on discutait à bâtons rompus devant l’incontournable bouteille de vin. On concluait la vente. Puis, il venait chercher en vrac avec un camion ou bien venait le mettre en balles avec la presse à foin déjà décrite dans les Carnets d'Emile."

 

Cette presse à foin à bras, nous avait été décrite ici, par Emile Teysseyre :

"Le foin était transporté en vrac durant très longtemps, ce qui n'était guère pratique. Les Américains nous ont apporté ces presses à foin que l'on remplissait de foin avant que deux hommes assurent la remontée d'une plateforme qui compressait le foin. Un véritable travail de force qui nécessitait d'actionner deux leviers latéraux. Il fallait ensuite manuellement, avec une aiguille adaptée faire passer le fil de fer à travers la botte réalisée pour la lier en 5 endroits."

 

Emile en avait fabriqué un modèle réduit dont voici le cliché :

En voici une photo lors d'une démonstration adressée par Jean-Claude Rouzaud :

 

 

Enfin, voici une presse photographiée grâce à l'association Le Pastel :

 

 

L'article consacré aux battages, grâce au témoignage d'Aimé, présentait la façon dont les balles se faisaient grâce à la presse (voir ici) et comment elles étaient stockés : sous les hangars lorsque c'était possible et en élaborant un pailler pour le surplus (voir ici).

En voici une photo proposée par Berthe Tissiner :

Pour finit petit lexique occitan bien imparfait sur cette thématique (rappel les -a finaux se prononcent o) :

fourrage : la pastura

le foin : le fen

la paille : la palha

le fenil : la fenial

le pailler : le palhèr

faucher : dalhar

 

 

Merci à Berthe Tissinier, Jean-Claude Rouzaud, Aimé Boyer, Emile Teysseyre, l'association le Pastel.

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Rédigé par Emile

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