Publié le 8 Octobre 2019

Jeudi 8 octobre 1959 - couler le vin

Vent d'autan - Dépouillé du maïs et partagé 25 sacs (propriétaire) 25 (nous)

Coulé du vin le soir

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Publié le 7 Octobre 2019

Mercredi 7 octobre 1959- dépouiller le maïs

Brumeux - Fini le champ de la G. et dépouillé du maïs au sol

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Publié le 6 Octobre 2019

Mardi 6 octobre 1959 - laver la futaille

Vent d'autan le matin lavé de la futaille, le soir fini de labourer le champ de la G

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Publié le 5 Octobre 2019

Lundi 5 octobre 1959 - les passages au maïs

Vent d'autan - Avons fait des passages au maïs et (l'avons) chargé 3 remorques

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Publié le 4 Octobre 2019

Dimanche 4 octobre 1959 - la futaille

Vent d'autan - le matin mis de la futaille à tremper.

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Publié le 3 Octobre 2019

Samedi 3 octobre 1959 - les passages au maïs

Vent d'autan - Labouré au champ de la G. Fait des passages au maïs

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Rédigé par Emile

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Publié le 2 Octobre 2019

Vendredi 2 octobre 1959 - les vendanges se poursuivent

Vent d'autan - Avons vendangé à Prexage. 35 comportes. Ramassé un peu de maïs pour les bêtes.

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Publié le 1 Octobre 2019

Lauragais d'Autrefois (20) : les fenaisons, la fenial

Dans le carnets d'Emile, les mentions concernant les fenaisons tout au long de l'année sont nombreuses et l'on comprend sans peine l'importance que cette activité a pour la vie de la ferme et le temps qu'elle prend. Ce sont jusqu'à 4 coupes annuelles de fourrage que l'on compte, la dernière étant en automne. Couper le foin, le faner, le charger sur des charrettes et le stocker. L’alimentation du bétail en est en grande partie tributaire. Esparcette, sainfoin, Ray Grass sont des noms qui reviennent régulièrement dans les carnets d'Emile.

L'importance du fourrage est à tel point que lors de l’inventaire d'arrivée en 1953 (voir article ici) il est précisé que 8 hectares sur les 38 de l'exploitation y sont dédiées et que 225 mètres cubes de fourrage sont stockés dans les hangar et sur la fenial (en occitan), fenil ou grenier à foin souvent situé au dessus de l'étable.

Aimé B. m'a adressé un cliché de la faucheuse de son père et la famille Nardèze partage avec nous une photo (ci-dessous) des fenaisons. Qu'ils en soient chaleureusement remerciés.

Ce post fait partie de la série sur le Lauragais agricole d'autrefois. Vos contributions seront les bienvenues comme rappelé dans ce post-ci : Ecrivons ensemble le Lauragais agricole d'autrefois (cliquer dessus)

Pour retrouver facilement ces posts et les voir dans leur ensemble vous pourrez cliquer sur la nouvelle catégorie du blog : Lauragais agricole d'autrefois ou sur l'onglet en haut de page. Ils seront également écrits en bleu pour les distinguer des posts du quotidien de la vie d'Emile.

Lauragais d'Autrefois (20) : les fenaisons, la fenial

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Rédigé par Emile

Publié dans #Lauragais agricole d'autrefois, #Occitan

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Publié le 1 Octobre 2019

Jeudi 1er octobre 1959 - 102 comportes

Vent d'autan - Avons fini de vendanger. Avons en tout 102 comportes 

Donc 53 (nous)

49 (propriétaire)

________

102

Marius S. d'Avignonet a pris les 49 c (propriétaire)au prix de 12 F le kg

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Rédigé par Emile

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Publié le 30 Septembre 2019

Mercredi 30 septembre 1959 - les vendanges commencent

Forte pluie le matin - Après dîner nous avons commencé de vendanger 18 comportes

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Rédigé par Emile

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Publié le 29 Septembre 2019

Il n'y a pas de hasard. Il s'appelle Emile comme celui à qui ce blog est consacré et je l'ai rencontré grâce à une connaissance commune. 

- Tu ne connais pas Emile ? Tu devrais le rencontrer, il sait tellement de choses sur l'agriculture et le Lauragais, c'est un homme passionnant et passionné.

Je ne pouvais pas imaginer à quel point. Emile a une curiosité aiguë, se documente, lit, cherche sur ce Lauragais et son Histoire qu'il connaît pourtant par cœur. Car Emile a le Lauragais dans les veines. Il y est né un peu avant les années 30, y a toujours vécu, s'y est marié et y a fait toute sa carrière d'agriculteur, sa "vie de paysan" comme il dit. Il l'a commencée en tant que fermier d'une propriété qu'il a plus tard pu acquérir pour travailler à son compte.

Lorsque nous nous rencontrons, nous cherchons un peu nos mots dans les premières minutes. Il y a tant à dire. Par où commencer ? Je choisis de lui présenter l'un des carnets d'Emile qu'il consulte avec beaucoup d'attention puis ce blog qui est le moyen de partager chaque jour ces quelques lignes. Nous tombons par hasard sur la photo des boeufs et celle du tracteur.

Emile se souvient parfaitement de cette transition qui, le concernant, a eu lieu au tout début des années soixante. "Nous avons beaucoup hésité car il y avait de nombreuses discussions autour de cela. Les anciens étaient contre, n'en voyaient pas l'intérêt car nous avions toujours travaillé avec les boeufs. Le propriétaire me mettait en garde, un tracteur c'était un investissement et de l'entretien, du carburant... Et puis, il y avait ces histoires d'accidents. De temps en autre, il en survenait un, parfois grave, qu'on apprenait. C'était souvent faute d'une maîtrise suffisante de l'engin. Et ici, dans les coteaux, il y avait un risque supplémentaire, une crainte... je sais que certains disaient qu'avec mes 15 hectares d'alors, je ne m'en sortirais pas en faisant cet investissement."

Pour cette transition, beaucoup de paysans ont conservé des boeufs pour les endroits les plus inaccessibles ou plus étroits comme la vigne par exemple ou pour utiliser des outils agricoles qu'on ne pouvait pas atteler au tracteur. Chez Emile, la transition s'est faite plus sèchement, la vente des boeufs ayant contribué à l'achat du tracteur. Si le changement a réduit la peine de travail et le temps qu'on consacrait à une tâche "peut-être par 10 !", Emile en a nourri des regrets.

"Mon premier tracteur était un Farmall. Une fois garé sous le hangar, on réalise qu'on a face à soi un objet inerte, de tôle, sans émotion. On a beau dire ce n'est pas pareil que les boeufs auxquels j'étais très attaché et dont j'aimais m'occuper. Je me souviens encore du jour où ils sont partis. Le camion était garé dans la cour, là devant la maison, et il sont montés lentement à l'intérieur..."

Il s'interrompt, l'émotion affleure..."Mais c'était ainsi, la marche du temps..." conclut-il.

La marche du temps, celle-là même qui a un changé les paysages lauragais et la vie quotidienne... Emile sort ses notes, se souvient... Dans le village, à cette même époque, il y avait trois épiceries et une boulangerie. Il n'en reste plus aucune. Il a vu les fermes alentours se fermer parfois le rester durablement, se vendre. Il a vu disparaître les vignes, chacun alors avait sa parcelle. Il y en avait une trentaine autour du village, il les a recensées dans son classeur. Il n'en subsiste qu'une aujourd’hui.

D'un souvenir à l'autre, nous évoquons la météo, fondamentale pour les activités agricoles... Cela nous ramène à l'hiver 1956... Emile et sa femme se souviennent parfaitement de la rigueur de cet hiver-là. Un terrible froid régnait qui contraignait Emile chaque matin à casser la glace de la mare pour faire boire les bêtes. "Avec la hache, nous brisions une grande plaque que nous faisions ensuite glisser sous la mare gelée en la poussant".

Beaucoup de variétés de blé n'ont pas résisté à cet hiver-là. "Ceux qui avaient fait de l'Etoile de Choisy s'en sont mieux sortis, cette variété nous venait du Nord de la France et était plus résistante." Il se souvient des variétés d'alors qui se nommaient Abondance, Rieti, le blé du Docteur Mazet. IL y avait encore la bladeta de Puèglaurenç (petit blé de Puylaurens), un blé qui était de couleur fauve lorsqu'il était à maturité.

Aujourd'hui Emile est retraité depuis longtemps mais reste attentif aux problématiques de l'agriculture actuelle, est heureux de voir que le bio prend de l'ampleur. Il travaille beaucoup le bois de ses mains habiles. Il lui fait dire le Lauragais d'autrefois. Naissent ainsi des jougs, des boeufs trainant charrette, un travail à ferrer les boeufs et tant d'autres miniatures tellement réalistes comme cette presse à foin... Presse à foin ?

"Le foin était transporté en vrac durant très longtemps, ce qui n'était guère pratique. Les Américains nous ont apporté ces presses à foin que l'on remplissait de foin avant que deux hommes assurent la remontée d'une plateforme qui compressait le foin. Un véritable travail de force qui nécessitait d'actionner deux leviers latéraux. Il fallait ensuite manuellement, avec une aiguille adaptée faire passer le fil de fer à travers la botte réalisée pour la lier en 5 endroits."

L'après-midi s'est étirée et je n'ai pas vu le temps passer. Nous nous séparons à regrets. En quelques heures, Emile m'a décrit avec beaucoup de précision et d'émotion son Lauragais d'antan, sa vie d'agriculteur passionné par son travail, sa vision de l'évolution de son métier à travers les années. Je le remercie vivement ainsi que son épouse pour la chaleur de leur accueil et leur généreux partage de leur savoir et de leurs souvenirs.

Ce post fait partie de la série sur le Lauragais agricole d'autrefois. Vos contributions seront les bienvenues comme rappelé dans ce post-ci : Ecrivons ensemble le Lauragais agricole d'autrefois (cliquer dessus)

Pour retrouver facilement ces posts et les voir dans leur ensemble vous pourrez cliquer sur la nouvelle catégorie du blog : Lauragais agricole d'autrefois ou sur l'onglet en haut de page. Ils seront également écrits en bleu pour les distinguer des posts du quotidien de la vie d'Emile.

 

 

Presse à foin miniature réalisée par Emile et presse à foin de l'association Le Pastel
Presse à foin miniature réalisée par Emile et presse à foin de l'association Le Pastel

Presse à foin miniature réalisée par Emile et presse à foin de l'association Le Pastel

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Rédigé par Emile

Publié dans #Lauragais agricole d'autrefois, #Occitan

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Publié le 29 Septembre 2019

Mardi 29 septembre 1959 - les comportes

Vent d'autan. Fini de vendanger à la G. et en Estève.        comportes*

*Emile a oublié de renseigner la quantité 

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Rédigé par Emile

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Publié le 28 Septembre 2019

Lundi 28 septembre 1959 - aider aux vendanges

Le matin vendangé à la G et le soir à Roou

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Rédigé par Emile

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Publié le 28 Septembre 2019

Dimanche 27 septembre 1959 - Saint-Assiscle

Beau - le matin je suis allé à Saint-Assiscle. Le soir ramassé et chargé une charrette de fourrage derrière la maison. Camille de Roou est venu et a fait un demi-muid.

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Rédigé par Emile

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Publié le 26 Septembre 2019

Samedi 26 septembre 1959 - le placard pour les outils

Brumeux le matin - Nous avons fait un placard pour les outils à l'étable.

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Rédigé par Emile

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Publié le 25 Septembre 2019

Lauragais d'Autrefois (18) : une journée de battage (las batesons)

Une nouvelle photo des battages (las batesons en occitan) très représentative de ces scènes du Lauragais d'antan.

Berthe qui me l'a confiée témoigne :

"Elle représente bien le travail qui consistait à faire passer les gerbes de blé, auparavant mises en gerbière, dans la machine qui allait les égrener,le grain d'un côté, la paille de l'autre. A remarquer que c'étaient les femmes que l'on mettait à ce poste, les hommes charriaient les sacs de blé, il y avait un échelle toujours prête car souvent il y avait bourrage des gerbes et il fallait "débourrer" à la main, ce qui était délicat car on risquait de se faire happer la main, un homme montait faire ce travail et selon son humeur il adressait aux dames des noms d'oiseaux ou des plaisanteries....Il y avait beaucoup de poussière aussi, régulièrement il fallait faire la pause fraîcheur : l'eau maintenue fraîche au fond du puits, de la menthe ou de la grenadine et du vin coupé d'eau pour les hommes (je me souviens enfant c'était ma corvée !)"

Merci Berthe pour cette photo et ces précisions !

Ce post fait partie de la série sur le Lauragais agricole d'autrefois. Vos contributions seront les bienvenues comme rappelé dans ce post-ci : Ecrivons ensemble le Lauragais agricole d'autrefois (cliquer dessus)

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Lauragais d'Autrefois (18) : une journée de battage (las batesons)

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Publié dans #Lauragais agricole d'autrefois, #Occitan

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Publié le 25 Septembre 2019

Vendredi 25 septembre 1959 - les broussailles près du jardin

Brumeux - Le matin arrangé du fuel. Nettoyé des broussailles autour du jardin. Le soir labouré au champ de la G. Visite pour Jacquelin à Airoux

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Rédigé par Emile

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Publié le 24 Septembre 2019

Jeudi 24 septembre 1959 - le vin de l'an dernier

Orageux pluie à la nuit - Continué à labourer au champ de la G. Soutiré du vin de l'an dernier 6 Hl

La CAL* a livré 2000 kg Phosamo 

2000 kg Super

Moitié (nous) moitié (propriétaire)

* Coopérative Agricole Lauragaise

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Rédigé par Emile

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Publié le 23 Septembre 2019

Mercredi 23 septembre 1959 - le tirefond est cassé

Vent d'autan chaud - Fini de couper le fourrage derrière la maison. Continué à labourer au champ de la G. J'ai coupé un tirefond du relevage. Malrieu l'a arrangé.

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Rédigé par Emile

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Publié le 22 Septembre 2019

Mardi 22 septembre 1959 - Le fourrage derrière la maison

Vent d'autan - Continué à labourer au champ de la G. Le matin y passé la déchaumeuse. Continué à couper du fourrage derrière la maison. Je suis allé à la gare de soupe. Retiré 300 kg de blé E de C* de semence Thezis de Valence

*Etoile de Choisy

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Rédigé par Emile

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Publié le 21 Septembre 2019

Lundi 21 septembre 1959 - un nouveau champ

Vent d'autan - commencé à labourer au champ que nous avons pris à la G. Coupé du fourrage. 4e coupe derrière la maison. Payé l'assurance moby

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Rédigé par Emile

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Publié le 20 Septembre 2019

Dimanche 20 septembre 1959 - Laver le tracteur

Vent d'autan - Le matin j'ai lavé le tracteur. Papa est allé travailler les tombes.  Fait aiguiser les charrues.

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Rédigé par Emile

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Publié le 19 Septembre 2019

Samedi 19 septembre 1959 - du maïs pour les bêtes

Vent d'autan orageux - Fini de labourer le champ sous le jardin - Ramassé un peu de maïs pour les bêtes

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Rédigé par Syndicat

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Publié le 18 Septembre 2019

Lauragais d'Autrefois (17) : biner le maïs
Lauragais d'Autrefois (17) : biner le maïs

Le binage du maïs est une étape importante de sa culture. Elle permet de se débarrasser bien-sûr au passage de quelques mauvaises herbes mais sa fonction principale est de briser la croûte. Cette action limite d'une part l'évaporation de l'eau, rend le sol plus perméable à la pluie - l'eau peut ainsi atteindre les racines - et la couche superficielle contenant les micro-organismes est rendue également plus perméable à l'air assurant ainsi une meilleure croissance et une meilleure santé de la plante.

Les photos représentent une bineuse à traction mécanique, le guidage du deuxième homme permettait plus de précision pour ne pas blesser ou arracher des pieds de maïs.

Vous avez dit maïs ? Nous en reparlerons bientôt ici.

Merci à la famille Nardèze pour le partage de ces clichés très parlants.

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Lauragais d'Autrefois (17) : biner le maïs

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Rédigé par Emile

Publié dans #Lauragais agricole d'autrefois, #Occitanie

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Publié le 18 Septembre 2019

Vendredi 18 septembre 1959 - des artichauts

Beau - fini d'étendre le fumier et continué à labourer au champ sous le jardin. Rose d'Estève est ven ue chercher des artich

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Rédigé par Emile

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