Publié le 14 Novembre 2022

Vendredi 14 novembre 1952 - l'échange des sacs

Gelée glace beau temps

Avons continué à sortir du fumier derrière la maison et à semer du blé au Souleilla le soir. L'italien d'en Gil Lux est venu échanger deux sacs de blé Etoile de Choisy

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Publié le 13 Novembre 2022

Ceux de la Borde Perdue au salon du livre de Villeneuve la Comptal (11) le 19 novembre

Je serai présent au troisième salon du livre de Villeneuve la Comptale (11) avec une vingtaine d'auteurs d'Occitanie le samedi 19 novembre de 10h à 18h.

Plusieurs animations seront proposées (voir programme ci-dessous).

J'y présenterai sur mon stand les tomes 1 et 2 de la saga paysanne Ceux de la Borde Perdue. N'hésitez pas à venir échanger et nous rencontrer. 

Pour en savoir plus : www.bordeperdue.fr  ou contact@bordeperdue.fr 

Ceux de la Borde Perdue au salon du livre de Villeneuve la Comptal (11) le 19 novembre

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Publié le 13 Novembre 2022

Jeudi 13 novembre 1952 - première gelée

Gelée glace

Le matin avons sorti du fumier derrière la maison le soir

Avons commencé de semer le blé au champ du Souleilla (Realy 11)

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Publié le 12 Novembre 2022

Photo partagée par Serge Arnaud

Photo partagée par Serge Arnaud

Louis Bruno dont nous avons déjà présenté les souvenirs ici fait une parenthèse intéressante dans ses écrits concernant le rôle important des foires et marchés dans la vie rurale d'antan.

Il écrit :

"En toutes saisons, sauf empêchement majeur, la semaine de labeur était ponctuée par un marché ou faire aux villages chefs-lieux de canton, les hommes, chefs de famille y traitaient les affaires courantes, transactions de bestiaux de tout âge, périodiquement chevaux et poulains, marché aux grains de toutes sortes."

Aimé Boyer se souvient :

" La négociation finale se concluait souvent au bistrot, l'argent sur la table, l'été devant un Picon citron, l'hiver un punch, plus rarement un Pernod, je parle là des grosses transactions : animaux, grains...

Pour la volaille, ça se passait  au pied du camion après chargement. Auparavant un bon avait été délivré par le volailler."

Louis Bruno écrit :

"Quant aux fermières, elles apportaient oeufs, volailles et lapins quelles tâchaient de vendre en premier lieu puis elles faisaient les provisions pour la semaine garnissant plus ou moins bien leurs paniers dans la mesure où leurs ventes s'étaient avérées rémunératrices sachant que bien souvent elles étaient parties de la ferme sans le sou."

On y achetait bien souvent ce qu'on ne pouvait pas produire à la ferme : huile, sel, café sucre et quelques produits de consommation courante. Pour ce qui est de l'élevage et du potager, on y avait rarement recours lorsqu'on habitait une métairie.

L'architecture et la toponymie de nos villes et villages du Lauragais témoignent encore de l'importance de ces foires et marchés on y voit souvent des foirails, halles, appelées parfois d'un dénomination précise comme la halle au salé, halle au grain mais aussi les places de la volaille qui se sont substituées aux noms originels de ces places.

Le marché est alors un lieu de socialisation très important dans les campagnes d'antan où les occasions de se rencontrer ne sont pas si fréquentes en dehors des grands événements de la vie de travail comme les battages, les vendanges, le cochon qui réunissent plusieurs travailleurs. 

Un immense merci à Daniel Bruno - ainsi qu'à Christiane et Jean-François Bruno - pour avoir partagé les écrits passionnants de Louis. Merci à Aimé Boyer pour son témoignage.

Merci à Serge  pour les photo transmises.

Si vous avez des souvenirs des foires et marchés du Lauragais, n'hésitez pas à me les adresser. Nous les publierons ici. Vous pouvez m'écrire à lauragais@lescarnetsdemile.fr 

Ce post fait partie de la série sur le Lauragais agricole d'autrefois. Vos contributions seront les bienvenues comme rappelé dans ce post-ci : Ecrivons ensemble le Lauragais agricole d'autrefois (cliquer dessus)

Pour retrouver facilement ces posts et les voir dans leur ensemble vous pourrez cliquer sur la nouvelle catégorie du blog : Lauragais agricole d'autrefois ou sur l'onglet en haut de page. Ils seront également écrits en bleu pour les distinguer des posts du quotidien de la vie d'Emile.

Lauragais d'Autrefois (193) : souvenirs des foires et marchés

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Publié le 12 Novembre 2022

Mercredi 12 novembre 1952 - les fèves, le cochon et le blé

Beau temps

Le matin avons fait la saucisse et avons sorti du fumier pour les fèves 

le soir j'ai commencé à les semer au champ derrière la maison.

yveset Camille sont allés finir de semer le blé au champ du ruisseau. Marie Rouquet ma soeur est venu nous voir.

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Publié le 11 Novembre 2022

Mardi 11 novembre 1952 - les tabourets de traite

Brume presque tout le jour

le matin j'ai fait deux tabourets pour traire les vaches. Le soir avons tué un cochon de 86 kg. Elie Puget est venu nous aider nous le saigner

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Publié le 10 Novembre 2022

Lundi 10 novembre 1952 - les niches pour les pigeons
Lundi 10 novembre 1952 - les niches pour les pigeons

Temps doux jusqu'à midi pluie l'après-midi

Avons commencé de semer le champ du ruisseau en blé Etoile de Choisy l'après midi. J'ai fait des niches pour pigeons.

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Publié le 9 Novembre 2022

Dimanche 9 novembre 1952 - les semelles du traineau

Beau temps froid

J'ai fait des semelles au traîneau. Le soir j'ai empilé les fagots qui ferment le champ derrière la maison. Le Docteur Izard est venu voir papa.

Camille et Paulette sont allés sur le cimetière aux Cassès

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Publié le 8 Novembre 2022

Samedi 8 novembre 1952- vendre deux veaux

Vent d'ouest avec quelques giboulées de grains

Le matin je suis allé avec Gaston vendre deux veaux à Revel un a pesé 126 kg et l'autre 145 kg. Les deux 271 kg à 200 f = 54200 f

Le soir avons fini de semer le fond du grand champ mis 10 sacs de blé d'Etoile de Choisy

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Publié le 7 Novembre 2022

Vendredi 7 novembre 1952 - le blé

Rafales de pluie vent d'ouest fort

Avons continué à semer du blé au fond du grand champ

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Publié le 6 Novembre 2022

Ceux de la Borde Perdue... en balade dans le Lauragais (nouvelles dates)
Ceux de la Borde Perdue... en balade dans le Lauragais (nouvelles dates)

Octobre fut un mois actif. Outre la parution du tome 2 de Ceux de la Borde Perdue le 31 octobre, les causeries et conférences ont repris.

A l'invitation de l'ARBRE et de son président Lucien Ariès, j'ai présenté les romans et une causerie intitulée Un regard sur le Lauragais agricole des années 50 à Baziège au début du mois d'octobre puis à la bibliothèque d'Ayguesvives à l'initiative du Lecteur du Val, d'Annie Proudom et Frédérique Milonet.

La curiosité du public, l'écoute attentive et les questions qui s'en sont suivies ont permis de faire de ces causeries des moments très chaleureux et conviviaux autour d'un sujet soulevant beaucoup de souvenirs et d'émotions. Je remercie vivement les organisateurs pour leur accueil si aimable et leur confiance.

De nouvelles dates à venir

Dans les prochaines semaines, j'ai le plaisir d'être invité à travers le Lauragais 

- le samedi 12 novembre à la librairie du Beffroi à Revel pour une matinée dédicaces

- le samedi 19 novembre au Salon du livre de Villeneuve la Comtal

- (à confirmer) le vendredi 2 décembre à 20h30 pour une conférence à Belpech, salle multigénérations

- le samedi 10 décembre de 10h à 13h pour une matinée dédicaces à  l'Hyper U de Villefranche-de-Lauragais

J'aurai également le plaisir d'être invité au Salon du Livre d'Hiver à Montgiscard le dimanche 22 janvier 2023

D'autres dates pour se rencontrer et parler ensemble de ce Lauragais paysan d'antan sont en cours de calage.

Pour tout renseignement : contact@bordeperdue.fr ou 0625549345

Baziège et Ayguesvives
Baziège et Ayguesvives
Baziège et Ayguesvives
Baziège et Ayguesvives
Baziège et Ayguesvives

Baziège et Ayguesvives

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Publié le 6 Novembre 2022

Jeudi 6 novembre 1952 - les rafales de brume

Ciel couvert rafales de brume

Avons continué à semer du blé au fond du grand champ

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Publié le 5 Novembre 2022

Photo S. Visentin

Photo S. Visentin

L'automne était une saison aux tâches multiples à la métairie. Il fallait compter avec un temps plus capricieux et des journées raccourcies. Parfois c'était aussi la saison du changement pour les métayers, d'une borde à l'autre. Aimé Boyer recense pour nous la multiplicités de ces activités essentielles au fonctionnement de l'exploitation familiale.

"L’automne n’était pas une période propice à la rêverie dans les métairies. Il pleuvait souvent et les jours raccourcissaient.

Il fallait rentrer les récoltes, ramasser, transporter, stoker, faire les vendanges, récolter le maïs, les courges.

Tout cela ne laissait aucun répit à l’agriculteur et sa famille. Car il fallait en même temps préparer les semis en respectant la rotation culturale : les pailles sur le maïs et inversement le maïs après le blé avec un labour profond et une fumure animale. Les légumineuses fourragères étaient remplacées suivant la qualité du terrain généralement par du maïs et quelques fois du blé.  

Après avoir récolté le maïs, il fallait débarrasser les champs des jambes (las camborlas). Avec la canadienne arracher las tancàs (le départ de la jambe et le racinaire) puis niveler un peu le champ. En effet, en sarclant le maïs on tirait la terre vers le pied, ce qui provoquait une petite bute de terre à chaque rangée. Ensuite on labourait avec la charrue, un labour en planche, léger. Les semis de blé on déjà été évoqués dans les Carnets d’Emile. Il y avait aussi l’orge et l’avoine sans oublier le seigle et autre farouch qu’on semait dans un champ près de la maison pour le distribuer en fin d’hiver au bétail et apporter ainsi un peu de verdures après trois mois de rations sèches.

Dans le même temps, il fallait prendre soin du vin dans la cave.

Il fallait aussi semer les fèves et ce n’était pas une rangée, ou deux mais minimum un hectare ou davantage.

La fève faisait partie de la ration alimentaire des animaux de la ferme mais aussi de l’homme.

C’était la période où on plantait l’ail, l’échalote et l’oignon de Mulhouse.

Venait aussi le moment de faire les labours profonds pour le maïs avec le brabant, tiré par deux paires de bœufs ou vaches et deux personnes employées à temps plein.

Les terres argilo-calcaires du Lauragais ne supportent pas les labours de printemps.

Tout simplement l’argile qui passe l’hiver avec quelques gelées permet d’obtenir des terres meubles. Dans le Bassin Parisien ou les vallées de la Loire, ils n’ont pas ce même problème : ils labourent au printemps et ils sèment dans la foulée.

Mon gendre de Haute Savoie, quand il venait l’été, était étonné de voir ces labours dès le mois d’août.

On pourrait parler aussi du potager à pelleverser  et tant d’autres tâches encore.

La Toussaint venant, il fallait aussi travailler les tombes avec la bêche et le fossor. Chaque année, les tombes s’affaissaient  un peu. On remettait en forme de trapèze et quelques fleurs que l’on avait cultivées avec difficultés en raison du manque d’eau. Le cimetière n’était pas toujours au village,  avec les nombreux déménagements d’une métairie à l’autre, aussi il fallait y aller à pied, au mieux à vélo.

Durant cette période on se rendait aussi sur les foires et marchés de la région car l’année culturale prenait fin le premier ou onze novembre. Il fallait connaître le prix moyen de toutes les denrées alimentaires qui allaient rentrer dans le calcul avec le propriétaire bailleur que l’on reste ou que l’on déménage. "

Un grand merci à Aimé Boyer pour la transmission de ses souvenirs si précieux.

Merci à Serge Visentin pour la photo transmise.

Ce post fait partie de la série sur le Lauragais agricole d'autrefois. Vos contributions seront les bienvenues comme rappelé dans ce post-ci : Ecrivons ensemble le Lauragais agricole d'autrefois (cliquer dessus)

Pour retrouver facilement ces posts et les voir dans leur ensemble vous pourrez cliquer sur la nouvelle catégorie du blog : Lauragais agricole d'autrefois ou sur l'onglet en haut de page. Ils seront également écrits en bleu pour les distinguer des posts du quotidien de la vie d'Emile

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Publié le 5 Novembre 2022

Mercredi 5 novembre 1952 - les 27 oies

Vent marin calme 

Le matin avons fini de semer le blé au bout du champ du Pailler 2 hl et commencé le soir au fond du grand champ. Fine a commencé d'égorger les oies 27

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Publié le 4 Novembre 2022

Mardi 4 novembre 1952 - 3 sacs d'Etoile

Beau temps - Avons commencé de semer du blé Etoile de Choisy au champ du lotier. Mis 3 sacs

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Publié le 3 Novembre 2022

Lundi 3 novembre 1952 - les polypes

Vent d'ouest et rafales de pluie fine

Avons fini de labourer les bords du champ du ruisseau et hersé au champ du pailler 

Papa est allé à Castlenaudary se faire opérer des polypes qu'il avait dans le nez. Joséphine et maman y sont allées avec lui. Il a payé au docteur Soude 6000f et 1000f de clinique

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Publié le 2 Novembre 2022

Dimanche 2 novembre 1952 - la visite au cimetière

Vent d'ouest assez fort pluie fine dans la soirée. Suis allé avec Joséphine sur le cimetière de Montmaur

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Publié le 1 Novembre 2022

Samedi 1er novembre 1952 -  le paravent des courants d'air

Mauvais temps vent d'ouest avec pluie fine

J'ai fait un paravent pour la cuisine

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Publié le 31 Octobre 2022

Vendredi 31 octobre 1952 - la herse et le brabant

Vent d'ouest très fort et rafales de pluie à la nuit

Le matin avons fini de labourer les bords du champ du souleilla le soir hersé les de(ux) champs du lotier et labouré les bords 

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Publié le 30 Octobre 2022

Lauragais d'Autrefois (191) : les farinettes de notre enfance

Il suffit de prononcer le mot "farinettes" et beaucoup d'entre nous sont ramenés à l'enfance, au souvenir de ce dessert qu'on servait le dimanche ou lors des moments cruciaux de l'année qui réunissait les grandes tablées (lors des vendanges, lors des battages, lorsqu'on tuait le cochon, parfois à Noël...). On le réalisait parfois juste pour faire plaisir aux enfants dont les yeux s'emplissaient de gourmandise à cette simple évocation.

Chez nous, c'était mon arrière-grand-mère Joséphine qui les faisait avec beaucoup de savoir-faire. Celle qu'on appelait tendrement mémé Fine savait faire de ce dessert simple un plat de fête.

A l'origine, las farinetas, en occitan, désignaient des bouillies de céréales ou de maïs.

Grâce à Berthe Tissinier qui me l'a transmise, voici la recette de ce dessert tirée des souvenirs d'Emma Colombies de Baziège.

Les proportions sont indicatives. Les farinettes sont encore meilleures lorsqu'on les fait a vista de nas (à vue de nez) et puis chaque métairie avait son secret, sa petite touche finale...

1 litre de lait

4 càs de farine

20 morceaux de sucre 

1 zeste d'orange ou du chocolat (ou de la vanille)

1 pincée de sel

Verser le lait dans la casserole.

Délayer la farine dans le lait à travers une passoire.

Ajoutez sel, sucre et parfum.

Mettre sur le feu en remuant sans arrêt.

A ébullition, laisser cuire encore 3 à 4 min tout en remuant puis versez dans un saladier.

Bonne dégustation !

Si vous connaissez d'autres recettes traditionnelles du Lauragais, n'hésitez pas à me les adresser. Nous constituerons une petite collection ensemble au fur et à mesure. Vous pouvez me les adresser à lauragais@lescarnetsdemile.fr . Nous les partagerons dans les posts ici. 

Un immense merci à Berte Tissinier pour la transmission de la recette.

Ce post fait partie de la série sur le Lauragais agricole d'autrefois. Vos contributions seront les bienvenues comme rappelé dans ce post-ci : Ecrivons ensemble le Lauragais agricole d'autrefois (cliquer dessus)

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Publié le 30 Octobre 2022

Jeudi 30 octobre 1952 - les rafales de pluie

Vent d'ouest assez fort et rafales de pluie le soir. Avons jeté 18 balles de super au souleilla et 10 au grand champ et 6 sous le petit bois à l'avoine

Yves a fini de semer au champ des artichauts 

Semé en tout 13 sacs 

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Publié le 29 Octobre 2022

Mercredi 29 octobre 1952 - le patron et le tracteur

Beau temps brume à trois heures

Avons continué de semer l'avoine au champ des artichauts 

Gaston est venu le matin labourer au souleilla, le soir j'ai fini le champ et suis allé rendre le tracteur au Tivoli. Avant midi avons jeté 8 balles de super au fond du champ du Souleilla 

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Publié le 29 Octobre 2022

Mardi 28 octobre 1952 - semer l'avoine

Avons commencé de semer l'avoine au champ des artichauts 

Gaston a continué à labourer au souleilla avec le camion

Il a pris 18 dindons

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Publié le 29 Octobre 2022

Lundi 27 octobre 1952 - le champ du pailler

Beau temps, vent marin léger

Avons continué à labourer. Fini le haut du champ du pailler fourrage et commencé au souleilla

Hersé pour l'avoine au champ des artichauts et labouré les bords 

Le camion de la coopérative de Baziège a porté 50 balles d'engrais

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Publié le 26 Octobre 2022

Dimanche 26 octobre 1952 - l'Etoile de Choisy

Beau temps 

Le matin j'ai fait une civière pour le fumier. Elie de Roou est venu échanger deux sacs de blé Etoile et ils a pris 3 sacs pour Lachuries dit Poplé de Vallègue. Les Seloudres sont venus. Emile est venu se faire tailler les cheveux 

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