Publié le 11 Mars 2020
Publié le 10 Mars 2020
Averses
Nettoyé du bois pour la G.
La CAL a livré
1000kg ammoniaque
1500 kg Super
Payé à moitié avec C. (nb : le propriétaire)
Publié le 9 Mars 2020
Publié le 8 Mars 2020
Publié le 7 Mars 2020
La force mécanique entraînée par les animaux de trait permettaient un travail essentiel des sols. Les charrues contribuaient à aérer les sols pour faciliter la minéralisation des matières organiques, à les ameublir pour permettre le bon développement des racines et à enfouir la fumure.
Comme dans d'autres domaines, les années 50 ont vu l'accélération de l'utilisation des intrants chimiques.
Les engrais organiques étaient très utilisés dans les bordes et dans les fermes puisque le animaux qu'on élevait en étaient à l'origine. "Les différents fumiers n'étaient que la copie de la terre qui les avait produits, se souvient Aimé. Si la terre était riche, le fumier l'était et vice versa..."
Selon les sols, leur utilisation plus ou moins intensive, les macro-élements (azote N pour le développement des parties aériennes de la plante, phosphore P - résistance et développement des racines - et potassium K pour la floraison et les fruits) devaient être ajoutés pour le bon développement des plantes car les assolements précédents pouvaient les avoir épuisés.
"On n'utilisait pas tous les fumiers de la même manière en raison de leurs compositions différentes. Celui des vaches et cochons ou brebis était utilisé surtout pour l'humus, celui des pigeons était idéal pour les vigne d'ailleurs on voit bien encore dans les régions de vignobles qui nous entourent, les pigeonniers. Celui des poules, la gallinassa, convenait bien pour les patates."
Les intrants chimiques développés depuis la fin du XIXe siècle ont pris leur expansion à ce moment-là : l'agriculture s'intensifiant, les élevages étant parfois moins nombreux, l'abandon des bêtes de trait, l'impulsion des coopératives agricoles ont contribué à leur donner leur essor.
Aimé se souvient " Je me suis installé avec mon épouse en 1961 en fermage,(30 hectares) et j’ai été confronté à ce problème de fumure, d’autant que j’avais vidé l’étable.
J’ai fait faire des analyses de sol, et j’ai essayé de coller à la dure réalité des besoins : l’Azote sous plusieurs formes ,l’acide phosphorique Saint Gobain, la potasse avec des scories potassiques issues des cendres des hauts fourneaux du Nord. Il ne fallait pas de vent et c'était infernal car nous n’avions pas de douche. Rapidement ces potasses ont été remplacés par des granules.
Puis on a vu se développer des compositions de diverses formules conjuguant des mélanges de ces trois composantes avec des formules adaptées aux plantes.
Nous étions devenus des pionniers avec de gros investissements. Cela nous a engagé dans la marche irréversible de la modernisation agricole avec l'appui de la recherche et des engins de plus en plus perfectionnés".
Merci à Aimé pour son éclairage et à la famille Nardèse pour la photo.
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Publié le 7 Mars 2020
Publié le 6 Mars 2020
Vent d'autan pluie à la nuit
Le matin j'ai passé le rouleau de Clauzel sur l'orge . Nous sommes allés dîner à Roou
Publié le 5 Mars 2020
Publié le 4 Mars 2020
Publié le 3 Mars 2020
Vent de cers - Payé chez Rouzaud la réparation du pont du tracteur 82479 F
Approché les bords du côté des Ouritz. Ralassé des sarments
Publié le 2 Mars 2020
Fortes averses - semé des vesces et fait la curage pour les melons. Nettoyé les bords au champ de la G. Castilles et M. Sacaze sont venus pour les vaches.
Publié le 1 Mars 2020